lunedì 10 settembre 2012

ASTRALITÉS DE LA PARENTÉ


Dear friends from France, please read carefully what Discepolo wrote in his book. I have something to say about it.

Toujours est-il que, condamné à ce prétoire statistique, le zodiaque revient en force, d’une façon inattendue, détournée, grâce au résultat obtenu par Ciro Discepolo. Car, entendons-le bien, s’il existe une tendance à ce que le parent transfère son signe solaire à l’Ascendant de sa progéniture, ce n’est pas du vide qui se véhicule : par obligation, le contenu de ce signe commun est chargé de signification, celle d’une valeur héréditaire transmise. Nous voici donc au début d’une nouvelle histoire du savoir astrologique.

http://www.andrebarbault.com/astralites_parente.htm


   Succede sempre che, condannato a questa pletora statistica, lo zodiaco ritorni in forza, in maniera inattesa, quasi dirottata, grazie al risultato ottenuto da Ciro Discepolo. Perché, intendiamoci bene: se esiste una tendenza al trasferimento del segno solare del genitore all'Ascendente della sua progenie, qui non stiamo camminando sul vuoto: per forza di cose, il contenuto di questo segno comune è carico di significato, quello di un valore ereditario che viene trasmesso. Eccoci dunque all'inizio di una nuova era del sapere astrologico.

http://www.andrebarbault.com/astralites_parente_ita.htm


http://www.programmiastral.com/osservazioni.pdf



Alla pagina 28



Nuova ricerca sull’eredità astrale 
Analisi di 8219 soggetti
di Ciro Discepolo e Luigi Miele


Remerciements 
Nous dédions cette statistique au résultat tout à fait positif à Michel et Françoise Gauquelin, qui, par leur haute compétence, ont fait beaucoup dans ce domaine de la recherche, avec l’espoir qu’ils continueront. Nous devons également remercier Fausto Passariello, qui avait commencé cette recherche avec nous, des engagements privés l’ayant amené malgré lui à l’abandonner. Remercions non moins le professeur Luigi d’Ambra et le Dr. Francesco Mola, du département de mathématique et de statistique de l’université de Naples, qui ont contribué à la mise en place du travail et analysé avece  rigueur les résultats. Le remerciement spécial revient à Michel Gauquelin qui a généreusement mis à notre disposition un nombre élevé de données, sans lequelles cette recherche n’aurait pu être possible.

Introduction
Nous estimons que cette statistique astrologique va prendre place immédiatement derrière les bilans obtenus par Michel et Crançoise Gauquelin. En effet, nous n’avons pas connaissance que d’autres enquetes de statistique astrologique aient été faites sur un échantillon de données aussi étendu, ni qu’aucune n’ait donné un résultat aussi positif, dans l’ordre d’une démonstration du dogme astrologique. Ainsi que nous le verrons, l’importance particulière de la conclusion de cette exploration est que celle-ci démontre d’intéressantes corrélations sur les signes zodiacaux, lesquels n’avaient jusqu’à ce jour livré aucun indice à l’examen statistique.

Nature de l’échantillon
L’échantillon testé est formé par 8.219 sujets dont les naissances viennent d’un seul arrondissement de Paris et sont étalées sue une période de cent ans. Pour plus de précision sur les modalités de ce répertoire, l’on pourra se reporter aux ouvrages de M. et F. Gauquelin, voire aux renseignements que Michel donne aux lecteurs de Ricerca ’90. Il est prati quement inconcevable de contester la v al i di té de cet échanti ll on Les 8.219 sujets sont la composition de groupes familiaux, chaque famille comprenant le père, la mère et n enfants, exceptionnellement pouvant manquer un membre ou l’autre de la famille.

Hypothèse de départ
Comme la première publiée dans le n° 0 de  Ricerca ’90, cette seconde enquête sur l’hérédité astrale, présuppose l’exsistence d’une «hérédité astrale» exprimée par la répétition de configurations semblables entreparents et enfants. Tout astrologue digne de ce nom en a la conviction. Mais conviction n’est pas preuve; encore faut-il donc en avoir la certitude. La raison de cette enquête est précisément d’accéder à la vérification d’une telle hypothèse. Le point de départ est que les bureaux de l’état civil parisien (comme ceux des pays occidentaux) font loi l’obligation de déclaration d’heure de naissance à chaque accounchement, indépendamment de toute préocupation astrologique. En connaissance de cette donnée, conversion faite des divers régimes horaires parisiens, nous avons cherché à savoir si l’on trouvait, de parent à enfant, quelque «transmission» de position commune, aussi bien de père et de mère; et ce, à travers 25 combinaisons possibles.
Les deux tableaux qui suivent exposent ces croisements observés: entre le Soleil du parent et le Soleil, Lune, AS, maison solaire et maison lunaire de l’enfant; puis la Lune du parent et les mêmes de l’enfant, etc. La première combinaison Soleil-Soleil entend qu’à un parent SoleilBélier correspond un enfant Soleil-Bélier, ce qui donne la possibilité d’une proportion d’un douzième, sans que ce soit pour la combinaison Lune/Lune de signe à signe, ou la combinaison entre position solaire et position lunaire D’autres variables que celles entre luminaires sont possibles, ainsi qu’on le
verra entre 1’AS et le Soleil, le signe solaire du parent étant le même que le signe Ascendant de l’enfant. Nous avons donc organisé un software spécifique pour sonder ces combinatoires entre les parentés de ces 8.219 sujets. Et nous avons dégagé une cote de signification des résultats. Chaque jour, les douze signes défilent à l’Ascendant du même lieu: chaque enfant a en principe presque 1/12 de probabilité de naître lorsque se lève le signe solaire de son père ou le signe solaire de sa mère. Un résultat supérieur à ce 1/12 pourrait être considéré comme positif. Mais c’est una réalité beaucoup plus complexe qu’il faut prendre en compte. En particulier, la distribution horaire des naissances n’est pas uniforme et dépend de diverses variables, parmi lesquelles l’incitation des mé-
decins accoucheurs à provoquer la naissance aux «heures ouvrables». Commedans nos recherches précédentes, nous avons donc eu recours à des témoins en comparant les résultats acquis avec de «faux» indices obtenus de familles fictives: en mélangeant les vrais parents avec de faux entants, en opérant par fonctions de nombre casuals (Random) et en comparant les résultats.

Résultats obtenus
Les formules statistiques et tests appliqués sont les mêmes que ceux qui ont été utilisés dans la recherche du n° 5 de Ricerca ’90. Nous avons visé la significativité au niveau du 5%, ce qui, comme l’on sait, est une barre élevée dans ce genre d’analyse. Dans notre recherche, cela donne un équivalent de z à 1,96. Les deux tableaux présents inscrivent les résultats obtenus. Il saute aux yeux que les deux corrélations: signe Ascendant de l’enfant et signe solaire du père, ainsi que signe Ascendant de l’enfant et signe solaire de la mère, arrivent bien au-dessus de la valeur de z calculée au 5%. La première dépasse même le niveau de significativité du 1% ou z = 2,58!

Discussion des résultats
Selon les paramètres statistiques en usage, la chance que ce résultat soit dû au hasard est de l’ordre de probabilité de 1%. Pour qui est versé dans ce genre d’enquêtes, l’idée vient à l’esprit, comme à nos deux universitaires consultés, que l’on serait très fortement étonné qu’une recherche ultérieure
du même genre, testant des naissances d’un autre arrondissement parisien ou d’une autre ville de n’importe quel autre pays, n’aboutisse pas à un résultat semblable. Ainsi peut-on comprendre que nous sommes en présence d’un «fait astrologique» important: les enfants ont tendance à naître plus souvent que normalement lorsque passe à l’Ascendant le signe occupé par le Soleil à la naissance de leur père ou de leur mère. Il s’agit là d’une règle destinée à devenir une loi si une ou plusieurs autre enquêtes du même type viennent confirmer ce premier résultat. Deux raisons particulières contribuent à relever la qualité de celui-ci. La première est le niveau de significativité élevé, disons même très élevé avec le dépassement du 5% et surtout du 1%. La seconde est que c’est la
même corrélation AS-Soleil qui se voit répercutée sur le père et sur la mère, cette répétition devant aller de soi. La logique y trouve son compte. Enfin, nous pouvons nous permettre de porter l’attention sur d’autres corrélations qui voisinent le niveau de significativité. Ainsi en est-il des positions solaires de père à enfant, dans la même maison; de même, de manière similaire, de la position lunaire de l’enfant dans la même maison occupée par la Luna de la mère. Cette dernière corrélation mérite particulièrement l’intérêt car elle fut déjà significative au 5% dans notre précédente recherche. I1 s’agit donc d’une répétition.

Bibliographie
Précédentes recherches du Gruppo di lavoro di Napoli dans le n° 0
de Ricerca ’90.
Ciro DISCEPOLO et Luigi MIELE




Alla pagina 44



Confirmations d’après la troisième recherche 
sur l’hérédité

Premise 

Cette recherche suit – comme verification – celle déjà conduite par Luigi Miele ete moi-même, publiée dans le numéro 6 de Ricerca ’90 et qui a donné de résultats importants et positifs. Résumons donc en peu de mots ce dont il s’agissait l’autre fois. Luigi Miele et moi nous avons étudié un échantillon de 8219 dates de naissance qui comprenaient plusieurs milliers de familles constituées par le père, la mère et un ou plusieurs enfants. Les données avaient été rassemblées, bien des années auparavant, par Michel Gauquelin, dans un quartier de Paris et elles étaient toutes comprises dans unfile unique, dénommé Paris 12 raw. Dans celui-ci nous avons cherché les
preuves de l’hérédité planétaire qui avait été déjà démontrée par Michel et Françoise Gauquelin, mais seulement par rapport à des augularités planétaires. Au contraire, nous avons procédé dans la direction de chercher répétitions de «signes» zodiacals entre parents et enfants. Nous avons étudié 50 variables (25 père/enfants et 25 mère/enfants) et nous en avons trouvé une trés significative. De plus, pas nous mais le  Dr. Francesco Mola et le Prof. Luigi D’Ambra du Département de Statistique de l’Université de Naples ont trouvé pour la relation mère/enfants une significativité au 5% et pour la relation père/enfants une significativité toute à fait au 1%. Ça signifiait que la verité que nous avions découverte pouvait dépendre du hazard seulement dans l’1% des probabilités à notre disposition. Mais nous devons subitement préciser que les professeurs susdits nous ont prevenu immmédiatement que la recherche devait etre faite sur d’autres échantillons pour etre valide. C’est juste ça que nous avons fait.


Echantillon utilisé dans cette recherche
Nous nous avons adressé à la Mairie de Naples et en nous fondant sur la publication positive que nous leur avions apportée par connaissance, nous avons cherché leur aide pour recueillir beaucoup d’autres dates. Pourtant nous devons d’abord remercier vivement l’adjoint au Bureau de l’État Civil, Dr. Manlio Carli, qui se a montré sensible à l’intention d’une recherche scientifique et il nous a permis de fréquenter pendant plusieurs mois le bureau général ou on garde réunies les données de centaines de milliers de naissances arrivées dans la municipalité de Naples. Dans notre long et fatigant travail de recueil nous avons eu l’aide du fonctionnaire municipal monsieur Angelo Barbarossa, mais d’abord nous avons dû chercher la permission au substitut Procureur de la République, dr. Caterina Molino, qui, après avoir compri l’intention qui nous menait, nous a accordé la permission demandée, mais en meme temps alle nous a empêché naturellement de
transcrire les noms près des dates.

Recueil de l’échantillon
Malheureusement le bureau de l’État Civil de Naples n’a pas dans sa memoire computererisée l’heur de naissance de ses citoyens et ça a eu par consequence un travail énorme de selection de l’échantillon. On sait que une incorrecte sélection de l’échantillon utilisé, si elle n’est pas bien faite, peut invalider la recherche même. En effet nous devions assurer un caractère d’absolue casualité dans le recueil des sujets et ça est nécessairement arrivé, comme nous allons dire tout de suite. Les volumes, par milliers, de grandes dimensions et poids, étaient l’un à côté de l’autre, contenaient les données de naissance de 1915 à 1991 et ils étaient continuellement enlevés par les nombreux employés de la Mairie qui devaient rédiger documents pur la population qui les réquerait. Donc, nous et le fonctionnaire Barbarossa avions accès tous les jours à casiers differents où en ce moment-là par hazard les autres employés ne consultaient pas ceux registres-là. On les ouvrait et on
rejetait les noms sans enfants et ceux qui n’étaient pas natifs du lieux. Au moyen de un computer portatif on enregistrait les données du chef de la maison et ensuite on avait accès aux registres spécifiques des actes de naissance de la femme et des enfants correspondants au sujet sélectionné. Parfois on était obligé à attendre plusieurs minutes jusqu’au moment que ces registres
devenaient disponibles pour la consultation. Comme on peut comprendre le choix des livres arrivait dans une façon que nous pourrions définir casuel, mais sur cette question nous reverrons plus avant. Au terme de notre travail nous avions relevé 3972 naissances qui ont formé notre échantillon de statistique.

Retournons pour un instant à notre précédente recherche
Comme nous avons déjà expliqué dans notre précédent travail, pour evaluer si le résultat obtenu sur la variable cherchée (c’est-à-dire trouver quel’Ascendant du fils soit égal au signe solaire du père) était ou n’était pas significatif d’un point de vue statistique, nous avons formé de fausses familles; c’est-à-dire nous avons accouplé à parents les vrais enfants d’autres parents, en nous servant de la fonction «random» du computer, c’est-à-dire en faisant choisir au hazard au computer même. Comme on sait les résultats ont été extrêmement brillants et les Professeurs du Départment de Statistique nous n’ont pas demandé d’autres preuves sur cet échantillon.

Toutefois nous avons fait par la suite et volontairement un supplément d’enquête et nous avons procrée une centaine d’autres couples de fausses familles pour voir combien de fois le résultat positif se répétait. Hélas, ça s’est répété seulement 2 ou 3 fois, significativement en sens statistique, mais la chose étrange a été que dans le 90% de comparaisons le couple vrai était toujours plus haut que le couple faux.

Nous avons demandé explications au dr. Mola et au prof. D’Ambra et on nous a fait l’exemple classique du récipient de paille qui contenait 100  nombres. Les choses étaient allées comme ça: nous avions extrait un numéro parmi cent, en déclarant, avant de faire le choix, quel
numéro nous aurions extrait effectivement nous avons pris, bandés, le numèro que nous voulions prendre. Mais ça ne suffit pas: écoutez encore! Pour la deuxieme fois on nous a bandé et nous avons cherché parmi les cent numéros, tout à fait differents, un numéro entre cinq déclarés auparavant. Aussi dans ce cas nous avons frappé juste. Enfin ce fut un peu comme dire que en achetant un billet de la loterie, nous avions pris un des prix. Sur la question déjà traitée que le 90% des successifs tirages nous donnait un vrai numéro supérieur au numéro faux, n’avait aucune valeur du point de vue statistique. Et nous devons dire, à ce propos, que cette marche nous décourage un peu. En effet, en faisant une recherche statistique de cette façon, on est averti qu’il sera presque impossible obtenir un résultat positif, mais si ensuite tu l’obtiens, tu vas découvrir que ce résultat n’a aucune valeur. Sur ce point nous voudrions ouvris un grand débat parmi les lecteurs de Ricerca ’90 et surtout nous vondrions nous rapporter à ce que Jung a écrit sur les statistiques dans le celèbre essai sur la synchronicité.

Ce que Jung a écrit sur les statistiques 
en parlant de synchronicité
Comme on sait le grand savant suisse-allemand pendant plusieurs mois successifs se soumit à un travail fatigant de analyse statistique pour verifier si il y avait dans les couples épousés ces valeurs astrologiques que la tradition indiquait comme spécifiques d’un mariage: par exemple le Soleil
de lui sur la Lune de elle. Jung proceda en trois étapes successives et chaque fois il créait les faux couples de comparaison, en se servant du travail de secretaires et de differents collaborateurs.
C’estpour ça qu’il fut très étonné lorsqu’il verifia comme les résultats étaient influencés par l’état d’ame des presents. Il écrivit par exemple qu’ils avaient obtenu la plupart des presences de Mars dans les assortiments causels, lorsque sa collaboratrice sortit les numéros des corbeilles dans un état de grande exposition émotive, dû à ses caractère martiaux à ce moment-là.
Nous nous rendons compte alors que nous traitons une matières de frontière entre la science et verités ésotériques pas encore clairement déchiffrables. Et peut-être ça pourrait être une explication à la question qu’il serait nécéssaire détailler une méthode «objective» pour faire avancer des valeurs
de recherche statistique, en s’assurant que les transits du chercheur en ce moment-là, ne seront pas déterminants, après tout, pour le résultat de la recherche.

A ce point quelqu’un pourrait objecter que la «randomisation» du computer est parfaitement casuel. Mais vous, vous seriez prêt à mettre votre main au feu sur ce point? C’est-à-dire: êtes-vous vraiment sêrs que la course étonnante des électrons dans les circuits du computer ne peut pas etre liée «synchroniquement» à l’état d’âme de l’operateur? A’ la fin pour nous en tout cas le doute reste sur le pourquoi dans les successives 100 analyses effectuées, en 90% des cas, nous avons retrouvé notre variable plus haute de celle-là produite par la génération d’un numéro faux. Ça et autres raisons nous ont imposé de continuer notres recherches et nous comptons toujours de recevoir de vous tous une contribution à la solution de ces points interrogatifs.

Résultats de cette recherche
Nous avons procédé comme pour la recherche précédente et nous avons fait construire au computer 3972 cieux natales. De ceux-ci nous avons extrait la variable qui nous intéressait, c’est-à-dire combien de fois l’Ascendant du fils était égal au signe soilaire du père. Nous avons donné l’output de notre workstation au prof. Luigi D’Ambra et au dr. Francesco Mola du Departement de Statistique de l’Université de Naples et que nous remercions toujours pour la collaboration très utile qu’ils nous ont donnè. Après quelques jours passés en attendant anxieusement les résultats, voilà le verdict: sur la mère nous n’avons pas trouvé significativité tandis que sur le père (Ecoutez! Ecoutez!) on a trouvé un nouveau résultat extraordinaire positif: un z calculé égal a 2.25! (très proche à la significativité au 1%). A’ ce point les deux chercheurs susdits, même en croyant de devoir soumettre ces résultats à examens plus sévères, ils ne nous ont pas caché leur optimisme, supposé que nous avons devant nous, sur deux differents échantillons de quelques milliers de données, résultats positifs qui continuent à se répéter. Alors le prof. D’Ambra et le dr. Mola nous ont demandé de générer de nouveau  - comme dans la précédente recherche cent couples faux. Nous l’avons fait et «miracle» nous avons obtenu bien 50 résultats sensiblement positif. Le scrupule des deux chercheurs, que nous estimons et louons, ne s’est pas arrêté à ceça et on nous a demandé d’examiner le programme dans BASIC pour valuer si le numéro RANDOM a été généré vraiment dans une façon casuel. Nous avons soumis notres listés à leur examen et ça a été satisfaisant(les autres 50 étaient très proches à la significativité). Donc, pour le moment, la situation est très encourageant. Sur la question que le résultat maternel a été negatif, nous avons notre explication possible. Ici, dans le Sud, malheuresement les hommes donnent beaucoup d’importance aux enfants mâles (excepté celui qui écrit et qui adore les petites filles) et alors, en comparaison de l’échantillon de Paris, il peut être arrivé que pour beaucoup de pères, déçus par la naissance de la fille, la déclaration a été faite beaucoup de jours après la naissance et au Bureau de l’État Civil on peut avoir donné une information fausse ou bien inexacte. Le Departement de Statistique de l’Université de Naples, dans les personnes des chercheurs susdits, soumet les résultats positifs à toute une série de controles les plus rigoreux (que nous appelerions «tortures») pour
trouver éventuellement possibles erreurs metodologiques et ils nous ont dit qu’on agit de cette façon pour détourner le discrédit que notres adversaires certainement essayeront de jeter conte de nous.
Comme nous avons déjà dit, même avec des résultats si positifs, nous continuerons et dans les prochaines numéros du journal vous pourrez lire les développements des nouvelles recherches.

8 commenti:

editor@vendredi-13.com ha detto...

hello Astromauh

Thanks for the text in french. In some words a little digest 3971 datas 1915 to 1991 from Napoli.
Ciro Discepolo tried to do an honest job, but he made some errors.
These ones
- he did not specified those natural from the clinical births.
- he should said for example, how many births before 1970 years, and how many after.
- the reason is very simple. In 1970 women get use to have baby in clinic, and of course all births are most determined by doctors, not by natural ways, because doctors have time table, and they not wanted do it at night, on evening, or after nihgt club closed.

So for that reason from the 70's most births are clinical projets hours.

And for that reason, even Ciro Discepolo made a serious investigation, the mayor birth certificate given at Napoli, not mentioned about birth of the baby : natural ou clinical.

And we had occasion to see an italian birth certificate before 1970 given in Roma. No mention about the fact birth in clinic or anywhere.

For that reason the matter about parents parts of sky is given to children is today only mirage, but a serious study should have plenty conditions. First 10 000 births or more, from differents towns and maybe only with natal datas 1900 to 1920. with ventilation by serial : for example 1000 in 1900, 2000 in 1905 and so on.
it is only possible with past datas, before 1900, to say some parts of parents'skies can be found on children. Like sun, or other planets in same position, or often aspects between same planets. nothing more. But the more impress study was maden by Dan Martin demonstrating the reality on Cannes Battle august 2 -216 where roman legions were erased by Hannibal.

editor@vendredi-13.com ha detto...

I need to say something more.
We have a demographic institute named INED in France, and they already published statistic about hours where babies arrived more than others in the 24 hours days. And this fact have no ONE synchronicity with astrology. It is a reality, and all studies about link with births and astrology should before study the statistics about this act in fact. For that reason i think Ciro Discepolo tried and exercice, loyally, but with insuffisent documentation.

It is the same with Barbault study about war. He wanted give demonstration with the last 100 years, that wars are matter of Mars. Of course without any documentation or studiyng. And his conclusion was : i found nothing. It should be more clever BEFORE to study the rythms of wars, all from economy and the nature of them. First by internatioan definition 1000 deads on 12 month.

Astromauh ha detto...

The translation is not mine.

You can read the book on line at this adress:

http://www.programmiastral.com/osservazioni.pdf

I just selected the text, where Mr. Discepolo talks about his statistic.

The problem with Discepolo's statistic is not about natural birth or not natural birth.

Do not matter, if among the births, there are some not natural births, because if there is an effect, you will see it, even if there is not present in the not natural births, maybe you will see a smaller effect, but still you will see an effect.

Try to find his mistake, all you need is the text you got.

Forget the part of the birth data collected personally by Discepolo,
there is not a mistake among these data.

The mistake is in the sample of the 8219 subjects

The couples Kids/Father that mr. Discepolo told that were statistically significants, weren't statistically significants.

Try to find by yourself, why the couples weren't statistically significants.

Read carefully what Discepolo told.

Astromauh ha detto...

Adesso ho colorato in rosso il testo con l'errore del signor Discepolo.

Astromauh ha detto...

Now, do you see the mistake?

Anonimo ha detto...

I will be grateful should you continue this in future.

Anonimo ha detto...

Hey very interesting blog!

Anonimo ha detto...

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